Arroxim-Charles et Anne-Laure

Charles Da Silva Figueiredo
Son nom ancestral est Arroxim, qui signifie « père colibri de la forêt ».
Il vient d’Amazonie brésilienne et est un descendant de la lignée ancestrale du peuple Huni Kuin.
C’est un Pajé* de la lignée de guérison d’Arroxim et messager de la biodiversité.
Pajé* : C’est-à-dire, homme ou femme médecine qui a les connaissances de guérison à travers les plantes, l’eau, la terre et les animaux. Également, il ou elle est connecté.e au monde de l’invisible.
Par ailleurs, il se considère en effet comme un messager de la conscience du respect et de la protection de la nature primitive.
Il a 28 ans d’expériences officielles de rituels de guérison, en développant sa pratique, sa médecine, avec les plantes de la forêt, la culture ancestrale et ses ancêtres qui lui ont transmis leurs savoirs. Plus précisément, il propose des « libérations énergétiques et spirituelles » individuelles et collectives, via divers rituels et transmutations énergétiques. Il peut s’agir de soins pour les humains, les animaux et les lieux. Cela comprend notamment des cérémonies de libérations karmiques, transgénérationnelles, jusqu’aux exorcismes.
Au Brésil (Acre), il a fondé en 1998 le centre de soin « CICLUCA » en médecines naturelles ancestrales.
Par ailleurs, il est chanteur et musicien de chants sacrés qu’il interprète et/ou compose. Également, il fabrique diverses percussions (tambours chamaniques, djembé, atabaque, etc) et autres instruments musicaux et médicinaux.
Au-delà de cette mission spirituelle et de cet aspect artistique, son métier est botaniste-cordiste et éducateur de l’environnement, au sein des universités fédérales du Brésil.

Anne-Laure Juhel
Psychologue clinicienne de formation universitaire, elle a principalement exercée en protection de l’enfance ainsi qu’en service d’addictologie, en psychiatrie ainsi qu’à domicile auprès d’enfants autistes.
Autant qu’elle s’en souvienne, elle a toujours été émerveillée par le monde du végétal. Peu à peu, elle se passionne pour les plantes médicinales. Poussée par un besoin de rencontrer une nature primaire, luxuriante, sacrée et surtout riche de savoirs ancestraux, elle est allée vivre en Amazonie de 2018 à 2021. Plus particulièrement, elle sentait l’appel de se connecter à la manière ancestrale de se connecter au vivant et de prendre soin de l’âme, que ce soit par la parole, l’énergétique et/ou les plantes. Durant 3 ans, elle y a appris nombreux savoirs-faire et savoirs-être auprès de professionnels, « hommes et femmes médecines » et autres passionnés du règne végétal et des rituels de guérisons ancestraux.
Son objectif est que l’humain retrouve son harmonie, sa sécurité et sa boussole intérieure. Qu’il soit en paix et se reconnecte à sa lumière, à sa joie de vivre, tout simplement.
Pour le moment, elle œuvre essentiellement à la transmission des plantes médicinales et la culture d’Amazonie ainsi qu’à l’organisation et à la représentation d’évènements (conférences, concerts, etc). Également, elle accompagne Charles dans les divers soins proposés.
Ensemble
En 2021, ils ont crée l’association française « Préserve Amazonia ». Celle-ci a pour objectif de prendre soin de la foret amazonienne et de la culture ancestrale Huni Kuin. Concrètement, ils ont acheté 300 hectares de forêt primaire, au Brésil (Acre), qu’ils œuvrent à préserver en tant que « Réserve particulière du patrimoine national et mondiale ». Une famille Huni Kuin de 13 personnes sont les gardiens de cette réserve naturelle. Le père et la mère sont eux aussi Paje.
Également, ils diffusent les médecines que cette forêt abonde à travers les plantes médicinales et rituels de guérison ancestraux de l’Amazonie brésilienne. Prières, chants et musiques sacrées accompagnent toujours les soins. Ces pratiques servent particulièrement à maintenir les personnes connectées avec la mère terre, avec l’astrale et avec la joie. Ces rituels permettent de donner ancrage, force et courage.

Ensemble, ils proposent des soins énergétiques de l’âme via des pratiques et/ou remèdes ancestraux qu’ils fabriquent eux-même grâce aux plantes de la forêt. Également, ils se voient comme des messagers de la conscience du respect et de la protection de la nature primitive. Enfin, ils œuvrent à préserver une petite réserve naturelle de la forêt amazonienne – via leur association « Préserve Amazonia ».

Au programme

- Légendes et contes des êtres enchantés de la Forêt Amazonienne.
- Énergie de guérison du Colibri.
- Père Mapacho (tabac) et soutient des ancêtres Preto Velho (vieux sages).
- Conscience globale de la biodiversité et médecines ancestrales d'Amazonie.
Plus de détails :
- Légendes et contes des êtres enchantés de la Forêt Amazonienne.
Récits et contes des êtres protecteurs de la forêt Amazonienne :
Matinta Pereira, Mapinguari, Cohoquinho da mata et Curupira.
- Énergie de guérison du Colibri.
Encens accompagné de chants et musiques sacrées d'Amazonie, dédiées à ce nettoyage parfumé :
Danse de la Jiboia (Anaconda de protection), Peintures végétales, Prières de transmutation énergétique = passage de lumière, Découverte de la médecine de la Sananga pour celles et ceux qui souhaitent.
- Père Mapacho (tabac) et soutient des ancêtres Preto Velho (vieux sages).
Il s'agit de se connecter à l'être médecine du Mapacho sous diverses formes. Apports théoriques : présentation de l'être médecine Mapacho ainsi que des divers sages qui travaillent avec le Mapacho. Connexion directe : râpé/eau de tabac/mabil/pipe. Chants. Encens/nettoyage énergétique à base de Mapacho. Incorporation d'un ancêtre qui accompagne Charles "Arroxim" au quotidien.
- Conscience globale de la biodiversité et médecines ancestrales d'Amazonie.
Etat mondial de la biodiversité et de ces écosystèmes. Échanges : quels sont les mécanises et stratégies que nous pouvons mettre en place ensemble ? Présentation de nos actions à travers notre association "Préserve Amazonia" Explications de l'importance des médecines naturelles que requiert la forêt Amazonienne. Présentation de certaines médecines et initiations au rituel du Râpé pour celles et ceux qui souhaitent.